L’Éthiopie, deuxième pays le plus peuplé d’Afrique avec une population de 123 millions d’habitants, et l’Égypte, qui avait déjà rejoint la Nouvelle banque de développement (NDB) des BRICS en mars dernier, renforcent ainsi la diversité et la représentation africaine au sein de cette alliance économique. La NDB, opérationnelle depuis 2015, a pour objectif de mobiliser des ressources pour des projets d’infrastructure et de développement durable dans les marchés émergents et les pays en développement.
L’Argentine, initialement invitée à rejoindre les BRICS en août, a pris une direction différente sous la présidence de l’ultralibéral Javier Milei. Finalement, le pays a décidé de ne pas faire partie du groupe, marquant ainsi un choix politique clair de ne pas intégrer cette plateforme de coopération entre les marchés émergents et les pays en développement.
Les BRICS, initialement composés du Brésil, de la Russie, de l’Inde, de la Chine et de l’Afrique du Sud, ont été établis dans le but de favoriser la coopération économique et politique entre ces grandes économies émergentes. Cette coalition vise à renforcer les liens commerciaux, à promouvoir le développement durable et à influencer les décisions économiques mondiales. L’ajout de nouveaux membres, tels que l’Égypte et l’Éthiopie, élargit davantage la portée géographique et l’influence des BRICS sur la scène internationale.
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